Anouk Aimée et le vampirisme juif

La Rédaction
Démocratie Participative
23 juin 2024

 

La femme française selon Laurence CHAÏM.

The Japanese Man.

Ce sont des détails que personne ou presque ne remarque.

Comme Laurence C’haïm, Anouk Aimée était juive.

C’est d’ailleurs le juif Lelouch qui l’a sortie de son ghetto parisien.

C’est à la fois anecdotique et essentiel.

Si vous suivez les juifs médiatiques qui comptent, vous verrez se reproduire invariablement le même schéma. Par exemple, Bernard-Henri Lévy ne flatte que des juifs, même les plus inconnus. C’en est hilarant de bouticaillerie levantine.

Ce qui rend le racisme des juifs odieux, c’est qu’il prétend incarner des valeurs universelles dont ils s’arrogent les droits d’auteur.

Telle est l’arrogance raciale du juif.

Pour ces juifs, la « France » est juive de toute éternité. L’Allemagne, l’Amérique, la Pologne sont juives de toute éternité. Et, pour peu qu’ils y aillent, ils décréteront que le Bhoutan est juif de toute éternité.

Ne riez pas, c’est ce qu’ils ont fait à votre pays.

C’est le véritable sens du capitalo-marxisme juif : si ça vous appartient, vous devez le céder, si ça appartient au juif, vous devez le rembourser.

Au moins un parasite ne prétend pas être la victime dont il suce l’énergie vitale jusqu’à la mort. Le vampire juif, si. Une fois qu’il a fini de vous dévorer, il se revêt de votre peau desséchée et parade à l’ombre de votre gloire abattue en prétendant que toutes les réalisations de vos ancêtres sont les siennes.

Que l’ingénu lui fasse remarquer l’imposture et les neurones de sa cervelle se mettent à frire instantanément en une explosion de rage frénétique.

Squatteur entre tous, le juif n’aura jamais d’équivalent dans l’audace coupable.

Il n’y a pas de haine gratuite des juifs, « d’antisémitisme ». Il y a seulement une réaction de dignité face à l’insoutenable prétention des juifs à tout voler, tout souiller, tout détruire.

Le juif est l’incarnation de l’insoutenable. Il en est son faciès atroce, depuis des millénaires.

On ne haïra jamais assez le juif. Même quand on croit le haïr à juste proportion, on manque encore la marque d’une bonne longueur. Avec le juif, mieux vaut haïr trop que pas assez car on est toujours à court de haine le moment venu.

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